C'est avec le plaisir le plus vif que j'ai reçû la lettre, par laquelle vous me
marquez ma reception comme Siehe dazu die Kabinettsordre von Friedrich
Wilhelm II. vom 26.10.1796.
[Schließen]membre ordinaire de votre academie: et comme Sa Majesté, en me faisant cette grace, m'a voulû laisser la liberté
de choisir entre la classe de Philosophie, et celle des Belles lettres, je
prefererai bien d'appartenir à la derniere.
J'aurai l'honneur d'intervenir à votre Séance ordinaire de jeudi prochain. S'il n'etait pas absolûment de coutûme de prononcer un discours de reception, je desirerais bien d'en être dispensé: en possedant nullement le talent pour ces Sortes de discours. Mais si l'ordre des choses le demandait, je tâcherais de m'en acquitter aussi bien qu'il me serait possible. J'aurai l'honneur pour cet effet | 2 de passer chez Messieurs Les Commissaires, pour entendue on leur ordre, on leur conseil.
Ce sera par la Suite que je tâcherai et par ma conduite, et par mes travaux litteraires de meriter, Messieurs, votre indulgence; et de me rendre digne, d'appartenir à un lorqes aussi respectable que celai de l'Academie des Sciences.
J'ai l'honneur d'être avec la consideration la plus distinguées / Messieurs et très honorés confreres, / votre très humble et très obéissant / serviteur Louis HirtBerlin ce 29. d'octobre / 1796.